Le Glutamate monosodique (E621) : un produit hautement toxique présent dans nos assiettes !

A moins d’avoir un diplôme de nutritionniste/chimiste, il est très difficile de décoder la liste des ingrédients des produits industriels…

J’espère aussi que vous avez un bon opthalmo car les listes d’ingrédients sont écrites de plus en plus petit (malin l’industriel !)
Dans cet article je vais partager avec vous des informations sur le glutamate monosodique qu’il faut éviter a tout prix si vous voulez rester en bonne santé et éviter les maladies neurodégénératives.

Le glutamate monosodique :

Il s’agit d’un exhausteur de goût bon marché couramment utilisé dans l’industrie agroalimentaire et qui trompe les papilles gustatives en favorisant l’appétit.
Comme beaucoup d’autres produits douteux (comme l’aspartame) il est pour le moment autorisé sur le marché et des études controversées sont mises en avant afin de montrer sa non dangerosité… On en consomme 2 millions de tonnes par an !!

Il est pourtant prouvé par plusieurs études indépendantes que cet exhausteur de goût est hautement toxique pour l’organisme.

Voici un extrait du livre « La cuisine moléculaire » de Jörg Zipprick :

« Le professeur John Olney, spécialiste du cerveau aux États-Unis, a fait plus de 200 études sur le glutamate monosodique et démontre qu’il est un poison violent pour les neurones.

John Olney disait dans les années 1970 que si l’on laisse des grandes quantités de glutamate dans l’alimentation industrielle, nous assisterons a une épidémie mondiale d’obésité et de diabète. »  (40 plus tard le constat est assez proche…)

Le glutamate est présent dans de nombreux produits comme les chips aromatisées (goût poulet rôti, barbecue, wasabi…), le surimi, les soupes en sachet, les Kub Or, préparations de viande, certains biscuits et condiments, charcuterie sous vide et bien d’autres encore !

Il permet aux industriels d’utiliser moins de matière première et de relever facilement le goût de leurs produits.

Mais il faut savoir que le glutamate monosodique a plus de 30 dénominations différentes, il est donc très difficile a déceler ;

Voici quelques exemples afin de le retrouver dans vos listes d’ingrédients : GMS, natrum glutamate, gélatine, protéines ou huiles végétales hydrogénées, certaines huiles de mais, extrait de levure, levure ajoutée, arômes naturels, arômes, attendrisseur naturel de viande, E621, E622, E623, E624, E625.

Pour ceux qui veulent approfondir le sujet, je vous conseille de regarder la vidéo « La vérité sur le glutamate monosodique », un reportage jamais diffusé en Europe :

N’hésitez pas à partager cet article auprès des personnes non informées sur le sujet.
Il faut que cela se sache !

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Commentaires (15)

  1. Mathieu
    « Le glutamate est présent dans de nombreux produits comme les chips aromatisées (goût poulet rôti, barbecue, wasabi…), le surimi, les soupes en sachet, les kub Or, préparations de viande, certains biscuits et condiments, charcuterie sous vide et bien d’autres encore ! »

    Comme par hasard, quand je prend des chips Lays (ou autre marque), gout poulet, barbecue, peu importe j’ai des grosses remontés acides assez… burk, a rien comprendre, ces soupes a la con, sauces diverses, steack hachés, laisse tombé encore pire… je mange presque plus rien a cause de ca, a part les trucs basiques, poissons, pattes, riz, frites a la limite, pizza, fruits/légumes et c’est tout, chocolat j’évite au max avec regret… j’ai moins de problèmes depuis …

    Je t’encourage pour ce blog!

  2. Alexandre
    Merci pour ton témoignage, effectivement les aliments industriels peuvent déclencher des symptômes comme les brûlures d’estomac…
    Ce n’est qu’un signal d’alarme, le plus important est de réagir sans masquer le problème avec des médicaments symptomatiques 🙂 @bientôt !
  3. julie
    Wouaw je n’étais absolument pas au courant de ca!
    De toute façon il vaut mieux cuisiner les produits brutes que de manger tous leurs trucs déjà préparés degueux et bourrés de produits chimiques graisses et sucres!
  4. Arno
    Il faut quand même préciser que les 2millions de tonnes par an c’est le conso mondiale. 80% pour l’Asie. En France c’est quand même 95 000 tonnes.
    Et l’on constate que les asiatiques sont nombreux à vivre centenaires et que le QI mien est bien eu dessus du nôtre.(106 vs 95).
    Ceci dit, le gms étant présent dans la mal-bouffe en général, les gens avides de plats préparés et de saletés en sachet on bien d’autres soucis à se faire…
  5. Arno
    Excusez la coquille. Je voulais parler du QI moyen bien sûr ! Le mien est bien aussi dessus… Allez, j’rigole!!
  6. Arno
    Ils ONT d’autres soucis, bien sûr. Arghhh ces téléphones qui écrivent n’importe quoi 🙂
  7. Michel Gagnon
    j’ai diné au buffet chinois aujourd hui et une heure apres mes yeux picotaient, ont enflées, sinus completement bouchés! j’ai rentré a la maison et dose de BENADRYL et sieste pour calmer le tout! TERMINÉ a vie pour moi les buffets chinois!
  8. Manger Vivant (Auteur de l'article)
    Rien de tel que l’expérience nous permet d’ancrer la théorie et de faire les meilleurs choix pour nous 🙂
    Marie de Manger Vivant.
  9. Diane
    A chaque jour on nous conseilles une meilleure alimentation …quesque les gouvernements attendent pour faire interdire ces cochonneries,glutamate ,asparthame,etc
  10. Manger Vivant (Auteur de l'article)
    merci pour ton message & intérêt pour cet article ! 🙂
    Je t’invite à découvrir notre article qui t’aidera à mieux décrypter les étiquettes : https://www.mangervivant.fr/5-astuces-pour-decrypter-les-etiquettes/

    Cela permet de choisir en toute connaissance de cause les meilleurs aliments pour nous, les moins transformés & les plus vivants :
    https://www.mangervivant.fr/alimentation-vivante-vs-alimentation-morte/

    Marie de Manger Vivant 🙂

  11. Carole
    J’ai mangé et donc acheté sans le savoir avant, un cube saveur poulet avec gms, que j’ai mis dans un plat cuisiné de chili con carne. Je suis allée me coucher 2 h plus tard et ai passé la pire nuit de ma vie. Agitée, retournée toutes les minutes, mon cerveau qui n’arrivait pas à se calmer…. Il a fallu encore deux heures avant que je m’endorme. Les mises en garde sur le fait que ça passe après, d’accord, mais pour le coup, ça fout bien la trouille car les symptômes sont différents pour moi.
  12. Manger Vivant (Auteur de l'article)
    Oui cela nous invite à regarder toujours les compositions des ingrédients quand on fait ses courses 😉 & à manger les aliments les plus bruts et naturels possibles : https://www.mangervivant.fr/alimentation-vivante-vs-alimentation-morte/
  13. Jean
    En réaction à votre dernier commentaire : OUI, OUI, OUI, il n’y a rien de meilleur que de choisir des aliments non transformés (légumes, viande, poisson), et de cuisiner soi-même.
    – c’est meilleur du point de vue du goût
    – c’est meilleur du point de vue nutritionnel
    – c’est en général meilleur du point de vue économique.

    MAIS, il faut aussi être complet concernant le glutamate, et ne pas non plus induire de fausses idées, ou des peurs injustifiées.

    Il faut savoir que le monosodium de glutamate est produit par fermentation à partir de végétaux : un peu comme si on faisait du yaourt avec de la betterave… ce n’est pas un produit chimique de synthèse.

    Ensuite le glutamate (pas le monosodium de glutamate, j’y reviendrais) est présent naturellement : c’est un acide aminé constitutif des protéines. Sa particularité, est que nous avons des cellules sur la langue qui sont des récepteurs au glutamate, et c’est ce qui donne le goût savoureux des produits culinaires (savoureux, en japonais se dit « umami »). Lorsque l’on cuisine, il y a une dégradation des protéines, le glutamate est « libéré » et nos papilles se régalent. Des produits comme la tomate, les champignons, le blé (donc le pain), les produits laitiers (notamment les fromages affinés, comme le parmesan) sont TRES riches en glutamate. C’est bien pour ça que la cuisine italienne est si savoureuse, ou que nos grands chefs font d’abord un bouillon (et on ne les traites pas de méchants chimistes qui hydrolisent des protéines avec de l’acide – vinaigre – et un traitement thermique). Ce sont les bases de la cuisine.

    Ensuite, il faut relativiser les apports de l’industrie (sauf si vous avez une surconsommation de chips ! mais n’est-ce pas alors à chacun de s’interroger sur ses propres choix alimentaires) : le site de la FDA fait par exemple référence à une étude aux US (pas vraiment connu pour la qualité de leur alimentation « naturelle ») montrant que la consommation journalière de glutamate est de 13g par jour, mais que le MSG (la fraction industrielle) est de 0,55g.

    Ce qui est en revanche mauvais, à mon sens, c’est que de nombreux produits « savoureux » deviennent addictifs ! Difficile de s’arrêter tant qu’il reste des chips dans le paquet… Et là, plus que le glutamate, c’est souvent le sel (le fameux monosodium du MSG) qui est en cause et qui est le plus dangereux pour la santé. De nombreuses personnes ont rapporté des maux de têtes après une surconsommation, mais aucune nocivité n’a jamais pu être démontré avec une consommation normale. Le principale problème, souvent, c’est le coté addictif qui fait que l’on ne sait pas s’arrêter.

    Mon propos n’est certes pas de vouloir défendre l’industrie, mais davantage de pointer nos mauvaises habitudes alimentaires, et aussi notre méconnaissance des aliments et de l’industrie. Par exemple ce cube saveur poulet dont il est fait mention pour la préparation du chili con carne : le cube fait 10 ou 12g, le contenu en MSG est en général de 8 à 12% (il y a aussi du glutamate naturel provenant des proteines utilisées dans la confection de ces cubes, au maximum de 0,1%) soit environ 0,12 g de MSG; on met en général un cube pour un 1kg de préparation, soit 3 ou 4 rations.. donc ça fera 0,04 ou 0,05g par personne (sauf si vous mangez 2kg de chili, mais alors les problèmes digestifs viennent d’ailleurs…).

    Donc encore une fois, plutôt que d’incriminer l’industrie (qui ne nous vend que ce que nous lui achetons…), changeons nos habitudes de consommation ! Pour ma part, je n’utilise jamais de bouillon cube, mais quand je fais certains plats, je garde le bouillon liquide que je congele, et que j’utilise ensuite pour donner plus de saveur à mes recettes 🙂

  14. jim
    petite erreur de calcul…pardon ! un cube de bouillon, c’est 1,2 g de MSG, dans 1kg de préparation. Soit 0,4g (et pas 0,04) par ration (un peu plus si vous êtes un gros mangeur).

    Dans le même temps, pour le chili (1kg), comptez 500g de viandes hachées, soit 100g de protéines, il y a probablement de 10 à 15 g de glutamine (à partir duquel se forme le glutamate). Soit par ration probablement (je n’ai pas d’information détaillée), 10 fois plus que ce qui vient du cube.

    Allez, pour la route, un dernier truc : le champignon de Paris… faites les cuire (à la vapeur ou à la plancha), puis mixez pour faire une pate… ça remplacera avantageusement les aides culinaires 🙂

  15. Jean (ou Jim)
    Dernier commentaire.
    Il est écrit dans votre article :

    Voici quelques exemples afin de le retrouver dans vos listes d’ingrédients : GMS, natrum glutamate, gélatine, protéines ou huiles végétales hydrogénées, certaines huiles de mais, extrait de levure, levure ajoutée, arômes naturels, arômes, attendrisseur naturel de viande, E621, E622, E623, E624, E625.

    La réglementation européenne, et elle est observée strictement par les industriels, impose de déclarer les additifs. En l’occurence, l’ajout de MSG oblige à indiquer le code E621. Par contre, la gélatine, les protéines et huiles végétales, les extraits de levures et les levures (les mêmes que celles utilisées pour faire le pain, la bière ou les compléments nutritionels!) ne contiennent pas de MSG ! les protéines contiennent naturellement de la glutamine ou du glutamate puisque c’est l’acide aminé le plus important dans la structure des protéines en général. Les arômes naturels ne contiennent JAMAIS de MSG E621. Les arômes peuvent en contenir, mais il est alors obligatoire de les déclarer. Les attendrisseurs de viande sont souvent des enzymes (tels que la papapaine, extraite à l’origine de la papaye…). Mais s’il faut éliminer toutes les sources qui contiennent l’acdide aminé glutamine, ou le glutamate naturel, alors on peut faire une croix sur ce qu’il y a de meilleur ! Adieu pain, pizza, tomate, fromage, charcuterie, plats cuisinés (maison!), etc….

    Etre informé, c’est comprendre, et ne pas avoir peur.
    Informer, ce n’est pas faire peur !

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